Bravo Françoise pour ce témoignage courageux et bravo pour avoir retracé méticuleusement l’histoire du marketing stratégique et opérationnel des « pilules de l’oubli ». Encore une preuve s’il en fallait, de l’écrasante dissymétrie entre :
– les moyens promotionnels démesurés des firmes, s’appuyant sur des preuves scientifiques extrêmement faibles, quand elles ne déploient pas une argumentation à la limite de la malhonnêteté* ;
– le manque d’esprit critique de la majorité des acteurs, qu’ils soient médecins, pharmaciens, sages-femmes, et mêmes patientes, que les firmes pharmaceutiques (…)
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