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jeudi 25 juin 2015

Le Comité Technique des Vaccinations, premier anti-vaccinaliste de France ?

Quand la propagande lénifiante prend le pas sur l’information objective

La petite Ayana, 7 mois, qui s’éteint au CHU d’Angers, avait déclenché des convulsions après l’administration simultanée des vaccins Infanrix et Prévenar.
Interrogé sur ce cas par la presse, le Comité Technique des Vaccinations, chargé de la politique vaccinale française, a affirmé par la voix de son président Daniel Floret :
" Depuis dix ans, l’association de ces deux vaccins ne pose pas de problème particulier "

En réalité, la pharmacovigilance européenne a enregistré les signalements de forte fièvre (supérieure à 39.5°C), de convulsions, et d’épisodes d’hypotonie-hyporéactivité (EHH), qualifiés de "source d’inquiétude" par le comité de pharmacovigilance PRAC de l’Agence Européenne du médicament (EMA).

En 2013, la revue par le PRAC des données des essais et de la pharmacovigilance l’a conduit à confirmer le rapport bénéfice/risques positifs des vaccins, à la condition que soit mise à jour l’autorisation de mise sur le marché des vaccins concernés.

Les résumés des caractéristiques des produits (RCP) des vaccins Prevenar et Infanrix mentionnent depuis explicitement un sur-risque de fortes fièvres (>39.5°C chez 2.6% des enfants vaccinés simultanément vs 1.5% des enfants ne recevant qu’un vaccin), convulsions et EHH en cas de co-administration :
"Une augmentation des taux de déclarations de convulsions (accompagnées ou non de fièvre) et d’épisodes d’hypotonie-hyporéactivité (EHH) a été observée lors de l’administration concomitante de Prevenar 13 et d’Infanrix hexa".

En revanche, cette information reste absente du calendrier vaccinal élaboré par le Comité Technique des Vaccinations, qui superpose les deux vaccins sans émettre la moindre réserve.

Comment le président du CTV peut-il nier un risque officiellement reconnu ?
Avec ses conflits d’intérêts omniprésents et sa communication qui a fait le choix d’une propagande lénifiante au détriment d’une information sereinement objective, le Comité Technique des Vaccinations réalise-t-il qu’il est le plus redoutable anti-vaccinaliste de France ?

Edit 28/06/2015
Nous tenons à préciser que nous n’avons aucun renseignement sur le devenir de l’enfant, contrairement à ce qu’allègue une dépêche APM du 27/06.

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  • samedi 27 juin 2015 - par CMT Repondre

    Le Comité Technique des Vaccinations, premier anti-vaccinaliste de France ?

    Merci pour ce travail et pour le gros travail réalisé au sujet des conflits d’intérêts dans le cas du Sovaldi.
    Je voulais signaler que l’augmentation du risque de fièvre élevée et donc du risque de convulsion hyperthermique chez les nourrissons vaccinés par le Prevenar et le vaccin hexavalent pouvait être connu simplement en lisant la monographie du Vidal au sujet du Prevenar, ce que j’avais fait, en 2009.

    Correspondant au RCP le risque de fièvre élevée supérieure à 39,5°C lors de l’association du vaccin hexavalent (Infanrix 6) et du Prevenar, pouvait être estimé comme allant jusqu’à 2,8% des enfants vaccinés, soit un risque environ trois fois plus élevé qu’avec l’hexavalent seul. D’où un risque de convulsions hyerthermiques augmenté dans les mêmes proportions.

    Les autorités, le CTV, ont choisi d’assumer ce risque pour assurer une couverture vaccinale maximale en diminuant le nombre de séances de vaccination. Sans parler du fait que les effets bénéfiques du Prevenar pratiqué à titre systématique chez les nourrissons sur la santé publique restent à démontrer (pas de diminution de la mortalité des nourrissons de moins de deux ans due au pneumocoque). Les effets délétères c’est à dire l’augmentation des cas de méningite et d’infections invasives à pneumocoque dans l’ensemble de la population entre le début des années 2000, au moment de l’implémentation du Prevenar et 2009, sont, eux, clairement établis (cf données epibac).

    L’information était donc là, mais pas facilement accessible. Ce n’était pas celle fournie par les visiteurs médicaux, ni par le Quotidien du Médecin, ni par le CTV.

    C’est un rappel à la prudence quand l’acte de vacciner devient un peu trop routinier.

  • dimanche 28 juin 2015 - par RADER Repondre

    Le Comité Technique des Vaccinations, premier anti-vaccinaliste de France ?

    Pas de problème particulier !!!!!!!
    Le 23.9.2014, le tribunal de Milan condamne le Ministère de la Santé italien dans un cas d’autisme post-infanrix hexa effectué à un NN garçon en 2006. Autre condamnation le 1.7.2013 à Pesaro pour le décès d’une fillette survenu le 7.2.03, née en sept 02 et vaccinée le 17.1.03 (200.000€ + 700€/mois permanents+diverses indemnités et arriérés. Autre décès en début d’année en Sardaigne d’une fillette de 6 mois le lendemain de cette vaccination.
    On ne doit plus continuer à maintenir l’omerta sur cette double vaccination et Daniel Floret doit rendre des comptes pour ses mensonges.